C’est un dilemme parental. Choisir le produit de marque, faire plaisir à sa progéniture et faire grimacer son banquier, ou opter pour une sous-marque, et s’exposer aux réflexions d’un bambin colérique, en ménageant son portefeuille.
Entre Chocapic et les Crocc chocc Carrefour mon cœur balance. Ou plutôt a balancé, car à l’accoutumé, mon choix est fait : celui de la sécurité, le choix Nestlé. Mais voilà dans un mois de décembre qui s’annonce ric-rac pour mes économies, j’ai franchi le pas, j’ai opté pour une comparaison à même d’être, une bonne fois pour toute, fixé. Et qui sait, pouvoir économis
er à l’avenir. Voilà ce que je me suis dit.
Bien m’en a pris car l’expérience est loin d’être inintéressante. Elle n’en reste pas moins peu surprenante. On connaît les valeurs de Chocapic : des pétales gorgées de cacao, qui ont vite fait de teindre votre lait couleur chocolat. Une bonne rasade de sucre par là-dessus, et le tour et joué.
Il n’en va pas de même avec « Crocc chocc ». La céréale est moins sucré, déteint moins, tout en restant croustillante. Un brin de salé qui ménage le ventre, et écoeure moins. Et côté taille de paquet, on est servit : 500g de céréales contre 375g chez Nestlé. Le gramme de chocapic est deux fois plus cher que le gramme de Crocc chocc Carrefour !
Si l’on ressort de l’expérience moins balonné, il est en tout cas certain qu’à quantité égale, Chocapic reste meilleurs.
Victoire logique, dirais-je, de Nestlé, à condition de ne pas en abuser. Si opter pour « Crocc chocc » est un pêché pour l’inconditionnel des petits-déjeuners, Carrefour, avec son chocapic-like surprend, les papilles peu habituées des grands crus.
Entre Chocapic et les Crocc chocc Carrefour mon cœur balance. Ou plutôt a balancé, car à l’accoutumé, mon choix est fait : celui de la sécurité, le choix Nestlé. Mais voilà dans un mois de décembre qui s’annonce ric-rac pour mes économies, j’ai franchi le pas, j’ai opté pour une comparaison à même d’être, une bonne fois pour toute, fixé. Et qui sait, pouvoir économis
er à l’avenir. Voilà ce que je me suis dit.Bien m’en a pris car l’expérience est loin d’être inintéressante. Elle n’en reste pas moins peu surprenante. On connaît les valeurs de Chocapic : des pétales gorgées de cacao, qui ont vite fait de teindre votre lait couleur chocolat. Une bonne rasade de sucre par là-dessus, et le tour et joué.
Il n’en va pas de même avec « Crocc chocc ». La céréale est moins sucré, déteint moins, tout en restant croustillante. Un brin de salé qui ménage le ventre, et écoeure moins. Et côté taille de paquet, on est servit : 500g de céréales contre 375g chez Nestlé. Le gramme de chocapic est deux fois plus cher que le gramme de Crocc chocc Carrefour !
Si l’on ressort de l’expérience moins balonné, il est en tout cas certain qu’à quantité égale, Chocapic reste meilleurs.
Victoire logique, dirais-je, de Nestlé, à condition de ne pas en abuser. Si opter pour « Crocc chocc » est un pêché pour l’inconditionnel des petits-déjeuners, Carrefour, avec son chocapic-like surprend, les papilles peu habituées des grands crus.
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